Le but : connaitre la composition de l'air ambiant de sa maison afin d'agir lorsque le taux de pollution est critique.
On se pose fréquemment des questions sur la qualité de l’eau que l’on boit, on installe des filtres sur nos robinets ou dans nos carafes. A contrario, on se pose beaucoup moins de questions sur l’air que l’on respire. On prend l’air qui nous entoure comme une fatalité sans avoir l’impression que l’on puisse agir. Pourtant, par des gestes simples, on peut améliorer la qualité de l’air de notre habitation qui est souvent responsable de l’allergie de nos enfant ou des mauvaises nuits que l’on peut passer. Les principaux facteurs qui influencent la qualité de l’air de nos habitations sont : le taux de CO (monoxyde de carbone), le taux de formaldéhyde, polluant dégagé par nos produits ménagés, la peinture, meubles et autres objets de décoration, ainsi que toutes les particules fines (diesel, fumés, poussières diverses.)
Un des gestes simples, que tout le monde peut mettre en œuvre pour assainir l’air ambiant de sa maison, est d’aérer les pièces. Ce geste simple fait surgir un lot de questions légitimes : Mais quand ? Est-il réellement utile d’aérer si l’on habite à coté d’une autoroute ? A quelle fréquence ? Aérer l'hiver nous fait perdre de la chaleur.
Le but ce projet est de répondre à ces questions. Fabriquer un appareil simple qui va pouvoir nous indiquer, grâce à ses capteurs, le taux de CO (monoxyde de carbone), de polluants (formaldéhyde) et de particules présentes dans l’air afin que l’on puisse agir lorsque le taux devient critique.